Les acquisitions en mathématiques sont celles que je trouve les plus faciles à repérer chez les enfants. Les maths me semblent être partout, même lorsque l’on ne s’y attend pas !
– Dans l’écossage des petits pois (3 ans) ;
– Lorsque je lui lis des histoires, ma fille (3,5 ans) adore s’arrêter sur certaines pages : « attends, je compte » (les arbres, les moutons dans un champ, les nuages, …), même quand rien n’est suggéré par le texte ;
– Bien sûr, dans la confection des gâteaux (il s’agit pour nous, pour l’instant, de repérer le moment où l’on arrive à tel nombre pour dire « stop ! » et anticiper donc en observant les dizaines se succéder. Mon fils (6,5 ans) a aussi pu voir que parfois je gonflais les quantités pour un plus gros gâteau et qu’il fallait donc que je calcule les proportions pour chaque ingrédient) ;
– En jouant au restaurant ou à la marchande ;
– En fouillant dans sa tirelire pour décider d’aller s’acheter des bonbons ;
– L’été dernier, mon fils (6,5 ans) a découvert les « fubuki » dans le journal de ses grands-parents. Nous nous attelions aux mots-croisés et il s’est donc pris au jeu de faire, lui, ces fameuses grilles ;
– Lorsqu’il s’agit de compter les scores en fin de partie ;
– Lorsque l’on attaque des Pokémons (!) : on applique 20 points de dégâts et 20 points supplémentaires si l’on tombe sur le côté face de la pièce lancée ; puis on soigne son Pokémon de 20, 30 ou 60 points ; il nous manque des jetons de « 10 » alors on en remplace 5 par un jeton de « 50 », puis deux de « 50 » par une de « 100 »… ;
– En s’imprégnant inconsciemment de suites numéraires en jouant à 2048…
Bien sûr, il y a, en plus, tout le matériel « éducatif », que l’on met à disposition.
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